Faustÿn Kyyuolä [Fiche validée]

[le retour de la souris droguée... Et vi, c'était mwa, Ellëanew G'Zhaï, qui revient après tant de temps XD Rahlàlà^^]


Nom, prénom, surnom : Faustÿn Kyyuolä (pas encore de surnom, à part la Sorcière)
Clan choisi : Neutre
Race : Norn’dóttir
Age : 137 ans (mais apparence de vingt ans)
Poids et taille : 35 kg pour 1m62
Histoire de votre perso : (ptit rappel pour comprendre les prénoms et noms de famille en Scandinavie : une fille a pour nom de famille le prénom de sa mère avec le suffixe « dottir », et pour les garçons, ils ont le prénom de leur père, avec le suffixe « son »)

« Faustÿn est née en Norvège, le 13 novembre 1947, d’une mère descendante des grandes familles aristocratiques du royaume qui y règnait tant d’années plus tôt, et d’un père islandais. Kyyuolä Eyjadóttir, sa mère, avait été élevée par une famille conservatrice, dans un manoir aux proportions immenses, et avait appris les « bonnes manières de petite fille de bonne famille ». Aussi, lorsqu’à l’adolescence de celle-ci, le 9 avril 1940, les troupes allemandes envahirent la Norvège et le Danemark, pourtant neutres jusque-là, la jeune fille, alors âgée de 17 ans, partit se réfugier avec des amis ( qui eux étaient issus de familles plus modestes, et qu’elle était obligée de voir en cachette) en Islande, encore neutre, cela révolta la famille Grims-Eyja, qui était elle royaliste, et plus partisane des nazis que du côté anglo-français.
Ainsi, Kyyuolä dut ne jamais revoir ses parents, ses frères, ses sœurs, etc… à cause d’idées qu’elle avait différentes d’eux, malgré leur éducation bourgeoise. Mais l’Islande n’était qu’un refuge provisoire, et un mois après leur départ, ce fut au tour des Anglais d’envahir l’île, car ils en avaient besoin pour combattre les forces nazies. Aussi, pour fuir la guerre, la bande d’amis se déplacèrent un peu partout, parfois certains s’éloignaient, d’autres les rejoignaient, et ils migrèrent ainsi pendant quelques années. A la fin, chacun finit par se poser quelque part, car la Seconde Guerre Mondiale avait enfin prit fin. C’était durant ce long voyage que Kyyuolä rencontra Geird Sigurosson, le futur père de Faustÿn.
Cette dernière naquit dont dans le nord de la Norvège, entourée de deux parents aimants. Mais, peu à peu, au fur et à mesure que la petite Faustÿn grandissait, sa mère eut la nostalgie de sa famille, si ordonnée, si propre : la sienne lui causait beaucoup de soucis de ménage, d’ordre, etc… Sa fille traînait souvent dans la rue après la tombée du jour, et cela l’inquiétait, malgré son esprit assoiffé de liberté.

C’est alors que les mutations survinrent.
Au début, la petite maisonnée se crut à l’abri du virus, depuis leur coin reculé au fin fond de la Norvège. Mais il semblait qu’ils avaient oublié combien il était devenu facile qu’un malheur se propage aux quatres coins de la Terre, eux, l’islandais et la norvégienne, vivant dans des pays neutres au départ, pendant la Guerre… Aussi, quand Faustÿn fut touchée, ils n’y crurent pas au départ : cela se présentait en effet comme de la fièvre froide violente, si bien que la fillette (qui avait alors 11 ans) dut garder le lit durant plusieurs semaines. Cela devenant étrange, ils consultèrent, après un médecin de campagne qui prescrivait des infusions en vain, un médecin à Oslo, plus qualifié. Ce dernier secoua la tête tristement, et déclara que Faustÿn avait été atteinte de l’étrange virus qui circulait dans le monde entier. A ces mots, les deux adultes s’effondrèrent, et le médecin les obligea à passer également un test, afin de savoir si ils avaient été touchés également. Geird l’était… Il fut identifié comme un futur semi-Nain (il commençait déjà à perdre sa taille auparavant svelte et élancée), tandis que sa fille était une Norn’dottir. C’en était trop pour Kyyuolä, toujours saine, qui les lâcha sur le coup et partit vivre sa vie de son côté. Elle ne reverrai jamais son mari.
En effet, celui-ci, après avoir regagné, Faustÿn dans ses bras, leur maison familiale dans le Nord, il dépérit longtemps, restant au chevet de la fillette qui ne se remettait toujours pas, plus pâle que la mort, plus froide que la neige qui tombait inexorablement au-dehors. Quand, enfin, elle put se mettre debout, il mourut deux ou trois mois après sa guérison, semi-homme, semi-nain, détruit psychologiquement plus que physiquement par le virus.

Pendant sa longue et interminable convalescence, la jeune fille, désormais âgée de dix-neuf ans (le temps avait passé à la fois si vite et si lentement), avait rêvé d’étranges songes, qu’elle ne saurait décrire maintenant qu’elle était éveillée, mais grâce auxquels elle comprenait plus ou moins ce qu’elle était maintenant. Elle inhuma son père, seule : durant leur réclusion, tous leurs amis, tant à elle qu’à lui, avaient disparus, lassés de visiter deux malades, l’une fiévreuse et l’autre déprimé. Aussi, seule face à son destin, elle commençait déjà à haïr la Guerre et le virus, qui avaient unis et séparés à la fois la famille, dont restait désormais des épaves, l’une sous terre, les deux autres à un bout du monde (Kyyuolä était partie aux US). D’ailleurs, Faustÿn ne se fit plus appeler Kyyuolädottir par son nom de famille, mais simplement Kyyuolä. Elle commença alors à vivre une sorte de vie d’ermite, le temps de rentrer dans sa nouvelle peau de mutante, et de prendre connaissance de la Nature qui l’entourait. C’est comme cela qu’elle apprit les herbes, les potions… Peu à peu, elle devint bohème, et finit par quitter définitivement l’ex maison familiale, qui lui rappelait décidément trop de douloureux souvenirs.
C’était en 1998. Elle aurait du être âgée de 51 ans, mais gardait son apparence de jeune fille… à cela près que, peu à peu, sa peau se parcheminait, plus rapidement que pour un humain, et ses yeux verts, scintillant autrefois d’une vive étincelle étaient devenus laiteux. Quant à ses cheveux, auparavant lisses et d’un blond qui confinait au blond, à la manière des scandinaves, étaient devenus rêches et avaient pris une teinte étrange, comme s’ils étaient vieux de centaines d’années. Malgré ce vieillissement accéléré de certaines parties de son corps, elle conservait cependant le corps d’une jeune fille, si bien qu’il était difficile de lui donner un âge. Ce fut durant cette première période de solitude intense qu’elle se transforma, de la fillette joyeuse et enthousiaste, en une jeune fille réservée, voire antipathique.

Malgré cela, dans une des rares villes où elle s’aventura, afin de gagner un peu d’argent en tant que guérisseuse, grâce à ses talents pour les herbes, quelqu’un s’intéressa à elle. Il se nommait Alex Loomer, était anglais, mais connaissait un peu de norvégien. Peu à peu, il lui enseigna sa langue, au cours des nombreux rendez-vous qu’ils prirent, dans ce pub d’Oxford, où ils s’étaient connus pour la première fois. Lui était un semi-ange déchu, et il lui apprit tristement l’état du monde en cette année de 2001. Pour finir, ils partirent ensemble aux US, s’établir à L.A.
Là, ils vécurent ensemble, d’abord en amis, puis en couple, dans une petite maison située à la limite entre le quartier marchand et le quartier pauvre, avec un minuscule jardin qui l’entouraient, où ils firent pousser ce qu’ils pouvaient. C’est ici que vit depuis ce jour Faustÿn, dans la même baraque, avec le même jardin. Mais sans Alex. En effet, ils vécurent quelques années tranquillement, bien que tout soit relatif, car se situer près du quartier pauvre n’allait pas sans quelque troubles, mais on respectait le couple, car la superstition faisait qu’on surnommait Faustÿn la « Sorcière » (ce qui n’empêchait pas les gens de se rendre chez elle, avec crainte, certes, mais quand même de venir demander de l’aide pour guérir, ou même se procurer telle ou telle herbe, ou poison, qui pouvait aider discrétement à parfaire la science des grosses armes). Mais en 2071, alors que la Troisième Guerre Mondiale avait éclatée et qu’ils militaient pour la paix et la fin du massacre (ils avaient déjà tous deux par trop souffert des conflits humains durant leur vie), Alex se fit toucher par une balle perdue. En effet, leur groupe pacifiste (une vingtaine d’amis) s’étaient placés entre deux groupes qui s’affrontaient (les batailles se répercutaient à petite échelle jusque dans les rues de L.A., entre deux camps adverses). Le semi-ange déchu tomba, ainsi que quelques autres, et les survivants s’enfuirent ensuite en débandade, tout comme les deux bandes, car les forces de l’ordre arrivaient pour régler leur conflit à leur manière : violente.

Alors, Faustÿn rentra chez elle et se barricada, déprimant ainsi pendant trois ans, seule, n’ouvrant plus sa boutique à personne. Les herbes dépérirent peu à peu, et tout ne fut bientôt que ruines et désolation, à l’image du monde qui l’entourait, au-dehors de son habitation, futile protection de quatre murs contre le malheur extérieur qui la poursuivait décidément depuis cette mutation.
Mais quand la Guerre cessa, et que les gangs se formèrent. La Norn’dottir ne souhaitait pas y prendre part, et durant ses trois ans de réclusion, elle s’était forgée une murailles, tout autour de son cœur, pour ne plus jamais s’attacher à quelqu’un : cela lui avait trop coûté, à chaque fois qu’elle avait du perdre les quelques personnes qu’elle avait réellement aimées.
C’est pourquoi elle rouvrit boutique, proposant aux gangs ses services, car il n’y avait plus qu’eux, maintenant, entre le Soleil Noir, la Milice Lycéenne ou encore les Krum Lupt, et parfois, l’un d’eux employait ses talents, à titre de guérisseuse provisoire dans le clan. »

Voilà mon histoire, jusqu’à aujourd’hui, 25 janvier 2084. Hier, je n’ai pu dormir, et personne n’est venu me visiter. J’ai senti qu’il me fallait mettre sur papier tout cela : peut-être que ça m’aidera à exorciser cette rancœur qui demeure en moi, ainsi que mon indifférence apparente, pourtant si feinte ?
Je verrais bien… Et maintenant, je vais essayer de coucher mes souvenirs sur ce grimoire, bien qu’ils m’échappent comme des filets de brume entre les mains.
Cela ressemble sans doute à un journal intime niais pour adolescentes, mais je sais que ce n’est pas cela (car j’aurais d’ailleurs sans doute développé beaucoup plus mes différentes déprimes, desquelles je ne garde pourtant que de vagues images très floues) : j’essaie d’évacuer les souvenirs plus que les sentiments, car en ais-je encore ? Il faudrait pour cela avoir un cœur…



Description : Faustÿn a la peau et les cheveux encore plus pâles qu’elle ne les avait avant sa naissance, mais d’une blancheur parcheminée, comme usée par le temps. Ses yeux, auparavant d’un vert très clair, sont peu à peu devenus blancs, et sont cerclés de mauve, sa couleur principale. En effet, non seulement son visage est maquillé de violet, mais on l’a toujours vue vêtue avec des habits étranges, peu à la mode du simple et pratique de ce millénaire, des robes dignes d’un conte de fées, ressemblant aux parures de ces dernières, avec tous les dégradés de violet possibles, allant du noir avec simplement de légers reflets parmes, jusqu’au lilas-bleuet. Afin de parfaire cette comparaison féerique, des ailes sont souvent cousus dans son dos, des fausses, certes, mais cela ajoute une touche de plus à l’accoutrement insolite de la norn’dottir. Des fleurs décorent parfois de manière simple ses cheveux, rêches et longs.
Elle est assez petite et frêle, et si ses yeux blancs, ainsi que son aura, ne dégageaient pas une aura pleine d’autant de pouvoir, de mystère et de présence manifeste de magie, elle serait sans doute considérée comme une proie facile (et l’est toujours, pour certains…) .

Caractère : Nul ne sait réellement qui elle est, à part peut-être l’Etat, qui a ses fiches, et d’autres personnes, qui connaissent simplement des lambeaux de sa vie, comme des chutes de tissus prises au hasard des années et des rencontres. Elle s’exprime peu, et les gens qui viennent la voir pour lui demander quelque chose sont en général mis mal à l’aise, par l’étrangeté de la maison, ainsi que de Faustÿn elle-même. Si on tente de la connaître un peu mieux, en parlant avec elle, en venant la voir plus souvent, on comprend qu’elle s’est forgée des murs blindés d’indifférence, afin de ne pas voir la souffrance des gens, mais que derrière cette étrange personne, déplacée même en ce monde, se cache une jeune fille qui fuit la réalité du monde, sa violence, en se dissimulant derrière un détachement feint. Le virus lui a trop fait perdre de choses, ainsi que la discrimination qui suivit son expansion rapide. Puis la Troisième Guerre Mondiale, dernier coup de poignard à son cœur déjà éventré de tant d’années de destruction, et de tentatives de rétablissement, futiles, en fait, face à l’ampleur des dégâts. Aussi, le seul moyen qu’avait trouvé Faustÿn était de s’enfermer dans une vie d’indifférence, sans prendre parti pour aucun clan. Et, le seul moyen pour survivre en restant neutre était de tous les aider…

Niveau : 3

Expérience : 0/45

FOR 7
RES 8
AGI 12
VIT 10
INT 13
POU 16

Vous choisirez ensuite vos :
(Si vous avez des idées, et que nous n'avons pas penser à cette compétence ou à cet atout, n'hésitez pas à les proposer dans la partie suggestion.)

-Atouts :

-Sort d'illusion : Permet au lanceur de projeter dans l'esprit de la victime une illusion de torture ou de belle chose tout dépend du bon vouloir du lanceur, le lanceur doit regarder les yeux de la victime pour lancer le sort car se sont ses yeux la clé.
Il ne peut créer qu'une illusion et cette technique peut être brisé par la douleur (ex: il se casse un doigt) ou par un esprit vraiment très fort (plus de 20 en POU).
Elle ne dure que 3 min.
Le sort terminé entraine une perte de vitesse et d'agilité de -2 et son esprit peut parfois être affaibli si la personne était forte mentalement.
Il peut briser à tout moment le sort sans aucune conséquence, mais doit avoir minimum 14 en POU pour maitriser cet atout.

-Souffle de feu*: Vous avez un organe permetant de cracher du feu. Vous pouvez souffler ce feu à 5m de vous avec un cône de 50cm à sa base. Toutes personnes prises dans ce feu ont 40% de chance de s'enflammer, provoquant 1D6% (non amortie) de dégat par round, le souffle provoque entre 20% et 40% (amortie par la RES cette fois) dégats et peut être lancé X fois par semaine (X=niveau).


-Compétences :
~>connaissance (plantes)
~> fabrication de potion
~> Magie de N0

Equipement :

• Sac à dos :
  -----PE: 0
  -----Ajoute : +5 PE
  -----Prix : 10£
  
  
• SIG SAUER: (FP: 12; PR: 4)
  -----Munitions utilisées: 9 mm
  -----Chargeurs de 15 balles.
  -----Chargeurs maximum: 3
  -----Prix: 100£
  
• Chargeur de 15 balles (vide): 5£
  -----Boîte de 50 balles: 15£
  
  
• Couteau de combat: (FP: 10; PR: 4) PE: 1
  -----Prix: 40£
  -----Dégâts: Tranchants/Perçants
  -----Spécial: N/A
  
  
• Argent restant : 180 £

Voilà, je crois avoir fini ^_^

Rah, il y a pas de doute c'est bien toi ^^
Ca se vois rien qu'au nom impossible a retenir !!! Je m'en souviens deja plus lol...

Bon l'histoire est par cpntre carement longue... Sa va me prendre du temps a la lire ^^, je le fais le plus vite possible ()
J'essaye de poster les herbes et potions lundi.

Mais pour t'es comp, prend : connaissance (plantes), et fabrication de potion.

j'en vois pas d'autre utile pour ton domaine.

Héhé ^^ Pour le nom impossible à retenir, j'avoue que bon... lol ! Pour l'histoire, sorry, j'arrive jamais à faire synthétique, comme on me le reproche souvent XD Prends tout ton temps pour lire, de toute façon, je pourrais pas trop être là ce week-end.
Je modifie la fiche tout de suite, pour les compétences !

Très jolie fiche ! J'espère que la V2 te conviendra.

Quand tu dis la souris droguée, est-ce que c'est la même souris que sur le forum de "Fais Ta Pub" ?

Oui, si c'est bie à gwen108 que tu penses ^^
Et merci pour le compliment, la V2 a l'air super

Merci pour le compliment pour la V2

J'ai pas encore lu l'histoire mais tout le reste est bon.

Muhaha gwen est la :p

Le retour^^

Re bienvenue cocotte^^

Dans ce cas, je me sens obligé de faire ça :

Mode Biclion super mouton on :

Beeeeeh, bienvenue à toi alors ^^

Mode normal on :

Bon jeu !

Que je suis émue de revoir tout le monde XD
Merci pour l'accueil ^^ J'ai hâte que le rp commence (mais pas avant la fin de l'orgaisation des gangs, je sais )
Et puis, en attendant, go to flood, faut pas perdre les bonnes habitudes, mdr !